dimanche 17 avril 2011

CONDUITE A TENIR (cat)


CONDUITE A TENIR
Cardiopathie:Le risque infectieux représente l’un des principaux risques dans certaines cardiopathies dont la manifestation la plus dangereuse est l’endocardite infectieuse(c’est l’atteinte infectieuse de l’endocarde ).
Précautions lors des soins :
- le risque infectieux : (endocardite infectieuse)
c’est l’atteinte infectieuse de l’endocarde ; les streptocoque en sont les agents infectieux les plus souvent responsables.
trois groupes de patients doit être distingués :
1. groupe A (à haut risque ) : où l’incidence et la morbi-mortalité sont élevés .
2. groupe B : risque moins élevé (incidence et gravité moindre).
3. en dehors de groupe A et B : il y a des situations cardiaques où il n’existe pas d’endocardite infectieux.
Groupe A (haut risque)
Groupe B (risque moins eleve)
· prothèse valvulaire .
· cardiopathie congénitale cyanogène non opéré et déviation chirurgicale.
· Antécédent d’endocardite infectieuse.
· Valvulopathie.
· Prolapsus de valve mitrale avec insuffisance mitrale et/ou épaississement valvulaire.
· Bicuspidie aortique.
· Cardiopathie congénitale non cyanogène sauf communication interauriculair.
· Cardiomyopathie hypertrophique destructive
Chez les patients de groupe A et B l’utilisation de l’antibioprophylaxie selon les modalité définie ci-après est recommandé pour les actes bucco-dentaires invasifs non contre-indiqués
 Tableau_résumant l’antibioprophylaxie de l’El pour les soins dentaires selon les recommandations émises par la 5° conférence de consensus en thérapeutique anti-infectieuses
Soins ambulatoires
Antibiotique
Posologie et voie d’administration
Prise unique dans l’heure qui précède le geste
Pas d’allergie aux bétalactamines
Amoxicilline
3g per os
Allergie aux betalactamines
Clindamycine
600 g per os
Pristamycine
1 g per os
Les posologies pédiatriques : amoxicilline 75 mg/kg .clindamycine 15 mg/kg, pristamycine 25 mg/kg
les traitement endo sont possibles chez les patients à risque ; sous digue, en une seul séance, avec des instruments stériles, sur dent vitale , mais il doivent être parfaitement réaliser, ils sont néanmoins à éviter sur les pluri radiculaires en particulier les molaires.
Si les soins nécessitent plusieurs séances, ils doivent être espacer d’au moins 10 jours , si le praticien à recours à une antibioprophylaxie .

Diabète :
Généralité :
Définition :
Il s’agit d’une affection chronique caractérisé par une hyperglycémie et l’autre modification métabolique qui résultant une activité inadéquate de l’insuline au sein de l’organisme.
Classification :
· Diabète de type 1 (diabète insulino dépendant ou DID) : peut être observé à tout âge et fréquent chez l’enfant et l’adulte jeune.
· Diabète de type 2 (diabète non insulino dépendant ou DNID) : affecté en général les sujet après 40 ans et ayant excès pondéral
· Type 3 : cette phase est constitué des autres formes, elle est rare.
Les manifestations buccales :
Il existe des manifestations buccales chez le diabétique déséquilibré ; on trouve une sécheresse buccale une chéilite , une hypertrophie des papilles filiformes ,une glossite médiane, des parodontopathies , on constate la présence de nombreuses caries et un retard de cicatrisation avec tendance au infections postopératoires .
Précaution lors des soins :
Le chirurgien dentiste devra être attentif à l’égard de risque infectieux.
Le risque infectieux :
L’hyperglycémie réduit la fonction phagocytaire et granulocyte ; qui augmente le risque infectieux et de retard à la cicatrisation.
Si le diabète n’est pas contrôlé s’abstenir et orienter le malade vers le médecin traitant, mais si des soins urgent sont envisagé, une antibioprophylaxie sera pratiqué (3g d’amoxicilline une heurs avant l’acte), l’avis du médecin traitant est obligatoire.
Chez un patient bien contrôlé et ne présentant pas d’un foyer infectieux la prescription prophylactique n’est pas nécessaire.
Ostéoradionecrose (ORN):
Définition
L’ostéoradionecrose représente la complication la plus sérieuse des irradiation bucco-facial, elle se manifeste quant sont cumulé 3 facteurs :
L’irradiation, traumatisme exposant l’os et l’infection
L’ostéoradionecrose et l’endodontie
Précaution :
a) Avant le radiothérapie :
Elimination systémique de tous les foyer et lésion inflammatoire chronique existant ou potentiel, toutes les dents présentants pronostic incertain seront avulsé (lésion péri apical, lésion carieuse important) confection d’une goutiere pour l’application de fluor .
b) Pendant la radiothérapie :
Si des actes doit être impérativement être réalisé pendant le traitement, une prophylaxie sera présente la démarche sera définie avec le chimio thérapeutique .
La revêtions des caries d’origine radiothérapie, débute par le brossage efficace et régulier , pratiquer des bain de bouche, et application de fluor .
c) Après la radiothérapie :
Après irradiation, le maintien d’une bonne hygiène et un suivi régulier sont déterminant . un traitement endo sera préférable à l’avulsion car le risque d’orn est ,oins important, dans tout les cas un antibioprophylaxie est de règle .
SIDA :
Définition :
Maladie caractérisé par une déficience immuno progressive et sévère causé par un rétrovirus VIH (le virus de immuno deficience humain) .
Cat vis-à-vis du risque infectieux :
Stade 1 : primo-infection, asymptomatique , patient séropositive
Taux CD4>500 CD4 /mm3 N=1000
La phase de primo infection apparait environ 1 à 6 semaines après exposition au virus dont la détection est rendue possible du fait d’une multiplication intense. Néanmoins, les anticorps sont encore indécelable à ce stade.
La phase asymptomatique fait suite à la primo-infection et s’étend sur une période allant de 7 à 10 ans. Au cours de cette longue phase de latence clinique, l’apparition d’anticorps anti-HIV dans le sang permet de d »celer les séropositive et les classent comme <<porteur sains>> . mais, l’infection est fortement contaminante.
Patient peut subir toute les thérapeutique
Stade 2 : stade symptomatique non SIDA
Apparition des symptôme +altération immunologique
Cette phase ne presente pas de véritable critére sida. Pourtant , à ce stade, les sujets presentent un ensemble de symptomes et d’altérations immunologiques et hématologique evolutifs associé à un syndrome lympho-adénopathie appelé LAC. Les signes clinique sont représenté par :
· Une fiévre, une fatigue, des diarrhées fréquentes et une perte de poids ;
· Une anémie, une lympho-adénopathie intéresse plusieurs aires ganglionnaires en particulier celles des chaines cervicales , axillaires et inguinales. De plus, cette lymphadénopathie a un aspect histologique particulier caractérisé par une evolution de la structure ganglionnaire avec atrophie ou disparition des follicules lymphatiques.
Il y a 2 cas :
1. CD4>500 therapeutique
2. CD4 entre [200-500]risque infectieux
-suppression des foyer infectieux sous antibioprophylaxie
-recherche des singe tumorales
-bain de bouche (alcanisation prolongé du milieu buccal ; et antifongique fungizine , nystatine)
-urgence douleur pulpaire
Ouverture de chambre pulpaire (traitement d’urgence)
Puis extraction sous antibioprophylaxie(traitement endo contre indiqué)
Stade 3 phase sida-maladie : actuellement, selon l’OMS et le CDR (center for disease control) le diagnostic clinique repose sur la présence d’infection opportunistes et/ou de tumeurs malignes et/ou d’encéphalopathies demyélinisantes, exclusivement en rapport avec une infection HIV et non avec d’autres causes d’immunodéficiences. Le délai moyen de survie après le diagnostic du SIDA est de l’ordre des dix à vingt ans.
A ce point de travail, il nous a paru indispensable de faire une brève étude des structures des virus mis en cause dans les infections suscitées, afin de comprendre notamment :
· Leur mode de transmission
· Leur mise en évidence après contamination
-Traitement palliatif en milieu hospitalier
Si les ressource immunitaire sont complément épuisé et les paramètre effondre abstention thérapeutique franche .
Protection du praticien et personnelle et patient
-port des gants, masque , lunette et casque de protection
-utilisation réduite des instruments rotatifs et spray
- pour le matériel piquant ou tranchant à usage unique
Manipulation prudente : ne pas recapuchonner les aiguilles , ne pas les désadapter à la main déposer dans un contenaire spécial
-former le personnel
-vaccination (VHB, tuberculose)
-respect des règles d’hygiène et de stérilisation
-confidecialité(secret médical)
Prise en charge d’un accident exposant au sang
Un dispositif permettant une prise en charge rapide des AES pour une éventuelle chimio prophylaxie et un savoir protégé des personnes exposées vis-à-vis de l’ensemble des risques viraux , VIH-VHB-VHC, doit être organisé et mis en œuvre au sein de chaque service concerné (hygiène et prévention – médecine de travail)et au sein de chaque établissement sanitaire .
Selon les dernières recommandations (tableau), une piqure ou blessure sur une peau lésée , en contact direct avec du sang ou un liquide biologique potentiellement contaminé doit être immédiatement suivie par :
Un nettoyage immédiat de la zone cutanée lésée, à l’eau et au savon, suivi d’un rinçage
Une désinfection à :
L’alcool à 70 pendant 3mn ;
La polyvidone iodée, bétadine , en solution dermique pure pendant 5mn ;
L’eau de javel à 12 chlorometrique diluée à 1/10éme pendant 10mn ;
Lorsqu’une projection se fait sur les muqueuses ou les yeux :
Un rinçage abondant à l’eau ou mieux encore au sérum physiologique doit être immédiatement réalisé .
Tableau de recommandation
Si contact avec du sang ou liquide biologique contaminé
·Après piqure, blessure
ð Lavage et antiseptique au niveau de la plaie
·Après projection sur muqueuse (conjonctive)
ð Rinçage abondant
Lavage et/ou désinfection des mains
Après le retrait des gants, entre 2 patient, 2 activité
Port de gants : les gants doivent être changé entre 2 patient, 2 activité
Si risque de contact avec du sang ou tout autre produit d’origine humain ; les muqueuses ou la peau lésée du patient, notamment à l’occasion de soin à risque de piqure
Matériel souillé
·Matériel piquant, tranchant à usage unique :
ð Ne pas recapuchonner les aiguilles
ð Ne pas les adapter à la main
ð Les déposer immédiatement après usage sans manipulation dans un conteneur adapté situé au plus prés du soin et dont le niveau de remplissage est vérifié
·Vérifier que ce matériel a subi une procédure d’entretien (stérilisation ou désinfection) approprié avant d’être réutilisé ;
ð Le manipuler avec précaution
Surface souillée
Nettoyer puis désinfecter avec de l’eau de javel à 12 chl fraichement diluée au 1/10éme ou tout autre désinfectant approprié les surfaces souillées par des projections ou aérolisation de sang
Transport de prélèvements biologique, linge et souillé
Les prélèvements biologique, le ligne et les instruments souillés par du sang ou par tout autre produit d’origine humaine doivent être étanche, ferme
Déclaration et surveillance des AES :
Les déclaration de ces accidents doit être faite , au plus tard, pendant les 24 à 48 heurs à la direction de l’établissement et notifié au service de médecine de travail selon les modalités envisagées au sein de l’établissement . cette déclaration va permettre outre, la prise en charge :
· L’identification des circonstances de survenue de l’AES
· La précision du matériel utilisé ainsi que les gestes effectué
Le recueil exhaustif des données sur un registre de relevé de ce type d’accident conduira l’interprétation des résultats par le médecin de travail ce qui permettra de déterminer :
· Les actions spécifiques à mettre en place telles l’élaboration de protocoles de soins ;
· Un système de surveillance à partir du registre de relevés des AES
Bien entendu, ce registre ne peut se substituer à la déclaration officielle à l’employeur mais doit être considéré comme un outil complémentaire de recueil de données .
Code de Déontologie des Chirurgiens-Dentistes :
" Le chirurgien-dentiste doit prendre et faire prendre par ses adjoints ou assistants toutes dispositions propres à éviter les transmissions de quelque pathologie que ce soit ".
L’asepsie implique 4 étapes incontournables : décontamination, nettoyage, conditionnement et stérilisation.
MATERIEL, LA CHAINE D’ASEPSIE :
1/ Décontamination :
Elle permet d’éliminer momentanément les micro-organismes présents avant de nettoyer les instruments.
La décontamination se fait par immersion des instruments souillés dans un bac contenant un produit décontaminant. Normes AFNOR : bactéricide, fongicide et virucide.
2/ Nettoyage des instruments :
Après la décontamination, le matériel peut être manipulé pour être nettoyé.
· Nettoyage manuel.
· L’idéal : la machine à laver les instruments. Elle offre une très bonne qualité de lavage et une sécurité supplémentaire pour le personnel. En outre, elle assure une désinfection thermique (95°), chimique (détergent) et mécanique. Le rinçage et le séchage sont intégrés dans le cycle (30 minutes environ).
· Le bac à ultra-sons avec une solution décontaminante à haut pouvoir nettoyant. Les fabricants proposent des produits qui sont à la fois décontaminant et nettoyant.
3/ Rinçage et séchage 4/ Conditionnement :
Tout le matériel à stériliser doit être préalablement conditionné.
Le conditionnement doit :
· Etre perméable à l’agent stérilisant.
· Assurer une protection contre la recontamination.
· Posséder un témoin de stérilisation changeant de couleur.
Deux sortes d’emballage :
· Sachets de stérilisation, avec de préférence une fermeture par thermo-soudage. Il est possible d’utiliser des sachets avec fermeture autocollante. La fermeture par agrafe ne permet pas de conserver la stérilité.
· Boites en aluminium ou en acier avec des dispositifs qui permettent la pénétration de l’agent stérilisant et la conservation de la stérilité.
5/ Stérilisation :
· Autoclave à vapeur d’eau sous pression avec système de pré-vide. C’est à l’heure actuelle, le procédé de stérilisation le plus fiable.
· Autoclave à vapeurs chimiques. Efficacité discutable pour les textiles.
· Chaleur sèche (Poupinel). Ce procédé ne convient qu’aux instruments résistants à une température de 180°. En outre, l’air étant un moins bon conducteur de la chaleur, la fiabilité de la stérilisation n’est pas garantie.
6/ Contrôle de stérilisation :
L’absence de fiabilité de la stérilisation par vapeur sèche, devrait conduire à n’utiliser que des autoclaves de préférence à vapeur d’eau sur lesquels il est nécessaire d’effectuer des contrôles périodiques de la stérilisation :
· Test biologique par l’emploi d’indicateurs de stérilisation chaque semaine.
· Test d’étanchéité au vide chaque semaine.
· Test de Bowie-Dick tous les jours.
LES INSTRUMENTS THERMOSENSIBLES :
Après nettoyage et rinçage, la désinfection totale à froid se fera par trempage dans une solution bactéricide, fongicide, virucide et sporicide. La durée d’immersion sera supérieure à 2 heures.
Les instruments sont ensuite prélevés de manière aseptique et rincés à l’eau stérile.
Après séchage, ils sont rangés dans une boite stérile.
NETTOYAGE ET DESINFECTION DE L’ENVIRONNEMENT :
Tout ce qui n’est pas stérilisable par la chaleur ou par immersion doit aussi être d’abord nettoyé avant d’être désinfecté (plan de travail, éclairage, unit, etc.…).
" on ne désinfecte que ce qui est propre "
1/ Nettoyage des surfaces souillées avec une lingette imprégnée d’un produit bactéricide, fongicide et virucide.
2/ Pulvérisation sur les surfaces propres d’un film antimicrobien et séchage sans essuyage.
LES INSTUMENTS ROTATIFS :
1/ Nettoyage externe et interne avec un produit décontaminant.
2/ Lubrification et conditionnement.
3/ Stérilisation par autoclave.
-Les équipements
Les équipements modernes sont généralement bien conçus sur le plan d’hygiène.
Exemple : commandes aux pieds, matériaux lisses, valves anti-rétraction de " l’unit ", cordons stérilisables, embouts d’aspiration, instruments rotatifs
démontables et stérilisables, tuyaux d’aspirations autoclavables, séparateurs d’amalgames.
-Désinfection de l’eau
Le risque de contamination de l’eau des " units " dentaires et des cordons est loin d’être négligeable. Il existe trois types de décontamination : une
désinfection permanente, une désinfection entre chaque patient, et une dernière plus poussée en fin de journée.
-Désinfection de l’air
La contamination aéroportée est appelée aéro-bio-contamination. Le développement important du nombre de cas de légionelloses nous a fait tenir
compte de façon plus précise de ce problème. La nécessité du port du masque et des lunettes n’est plus à démontrer. Mais il est également recommandé
d’utiliser des appareils de filtration électroniques ou électrostatiques et de renouveler l’air du cabinet surtout en cas d’utilisation de climatiseur dans
les salles de chirurgie.
-Les locaux
La conception architecturale des locaux doit répondre à certains principes de base tels que :
■ Séparation des zones de travail et d’accueil.
■ Communication entre salle de stérilisation et salle de soin.
■ Choix de revêtements faciles à entretenir…
Tuberculose :
Définition : la tuberculose est une affection systèmique contagieuse causé par Mycobactérium tuberculosis
Transmission :
- Aérienne par aérosol contaminé dont la porte d’entré est pulmonaire et favorisé par la promixuité
- Le sang
- Le liquide lymphatique(adénopathie qui festulise)
Manifestation buccale : lésion ulcérative à centre nécrotique et à base purulente peu douloureuse accompagnée par des adénopathies qui festulise.
Précaution :
Demander l’avis du médecin traitant qui va définir le degré de contagion du malade, si il est juger contagieux des précautions s’imposent :
Le port des gants, masque, lunette et casque de protection
Utilisation réduite des instruments rotatifs et sprays
Utiliser des instruments à usage unique de préférence
Protection des surfaces environnantes par des champs opératoires
Néphropathies :
Précautions à prendre lors des soins :
Il est indispensable de prendre contact avec le médecin traitant afin de connaitre les conséquences de l’insuffisance rénale chronique pour le patient et de lui faire préciser la thérapeutique en cours.
Insister sur l’importance de l’hygiène buccodentaire avant de remettre la cavité buccale en état.
L’élimination du foyer dentaire infectieux.
Prévoir l’hospitalisation en cas d’infection sévère ou d’intervention majeure lors des interventions chirurgicales ; le risque infectieux est important donc l’antibioprophylaxie s’impose en réduisant les doses et en tenant compte de leurs voies d’élimination.
Médicaments préconisés
Médicaments proscrits
Macrolides :
Spyramicine
Erythromycine
Pristinamycanie
Lincosmamides :
Tétracycline
Aminosides
Colistine
Meticilline
L’Hépatite virale :
Définition : inflammation de foie qui est causé par plusieurs virus (à ce jours un total de 6 virus provoquant une infection et inflammation de foie a était identifié le A B C D E G) dans les 2 plus important sont A et B vue leur grand risque de transmission en cabinet dentaire.
Manifestation buccal
Les manifestations sont communes à toutes les formes d’hépatite.
Il s’agit d’une décoloration de la muqueuse buccale tout particulièrement dans la région post du palais et de la région médiane du plancher buccal résulte de pigments biliaires au sein des muqueuses.
Dans les formes sévères il y a des hémorragies et des ecchymoses sont observées et des pétéchies.
Voies de transmission :
Le sang et liquides biologique contenant du sang
La salive
Syphilis
C’est une maladie sexuellement transmissible du à une bacterie (treponempal)
Manifestation buccal :
le chancre : ulceration de 2cm de diametre a fond lisse et indolore
adénopathie : plusieurs adénopathie regroupé autours d’une plus grosse adénopathie
transmission sanguine
sida contagion :
manifestation buccal
dénopathie retrouvé dés le 1ere stade, candidose , leucoplasie orale chevelue, herpes si,plex et chronique ; stomatite herpetique lesion papillomateuses
parodotite severe stomatite ulcero-nécrotique, sarcome de kaposi(sida avéré )
transmission
le sang
- Le médecin traitant sera consulté pour :
Connaître précisément la maladie (état de santé et complication).
Pour définir les éventuelles modifications concernant le trt , selon les soins envisagées .

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